L’impact environnemental d’un t-shirt conventionnel :
ce que cache le prix bas

Un t-shirt à 5 euros ? À première vue, une bonne affaire. Mais derrière ce prix dérisoire se cache une réalité bien plus sombre. Environnement, droits humains, gaspillage : un t-shirt bon marché n’est jamais neutre. Cette page vous explique ce que la fast fashion préfère taire, à l’aide de faits concrets, de chiffres vérifiés et de solutions durables.

Un coton cultivé au détriment des ressources naturelles

La majorité des t-shirts conventionnels sont fabriqués à base de coton conventionnel, cultivé intensivement. Ce mode de production entraîne :

  • 2 700 litres d’eau nécessaires pour produire un seul t-shirt (source : WWF).
  • 25 % des insecticides mondiaux utilisés uniquement pour le coton (source : PAN UK).
  • Une biodiversité menacée dans les zones de culture intensives (notamment en Inde, au Pakistan et en Ouzbékistan).

Exemple : la mer d’Aral, en Asie centrale, a perdu 90 % de sa surface à cause de l’irrigation massive pour la culture du coton.

Des teintures chimiques hautement polluantes

La transformation du textile implique des procédés chimiques extrêmement polluants :

  • Utilisation de colorants azoïques, interdits en Europe mais répandus en Asie du Sud-Est.
  • Déversements directs dans les rivières : en Chine, 70 % des cours d’eau sont contaminés par les déchets de l’industrie textile (source : Greenpeace).
  • Exemple : la rivière Citarum</strong en Indonésie est considérée comme l’un des cours d’eau les plus pollués du monde, en partie à cause de la teinture textile.

Une chaîne logistique mondiale… et polluante

Un t-shirt bon marché voyage en moyenne 20 000 km avant d’arriver en magasin :

  • Coton cultivé en Inde → filé en Chine → confectionné au Bangladesh → expédié en Europe.
  • Chaque étape utilise des énergies fossiles et émet du CO₂.
  • Jusqu’à 7 kg de CO₂ émis par t-shirt (source : ADEME).

Le vrai coût carbone de votre t-shirt n’est pas affiché sur l’étiquette, mais dans l’atmosphère.

Des conditions de travail dégradantes

La réduction des coûts se fait au détriment des droits humains :

  • Ouvrières sous-payées : moins de 2 € par jour au Bangladesh (source : Clean Clothes Campaign).
  • Pas de contrat, pas de protection sociale, travail des enfants encore présent dans certaines zones.
  • Exemple : au Rana Plaza en 2013, plus de 1 100 ouvriers sont morts dans l’effondrement d’une usine de confection au Bangladesh.

Une durée de vie courte et un gaspillage massif

  • Durée moyenne d’usage : moins de 10 lavages (source : Fashion Revolution).
  • 80 % des vêtements finissent à la décharge ou incinérés (source : Ellen MacArthur Foundation).
  • Chaque seconde, l’équivalent d’un camion de textile est détruit ou enfoui (source : ONU Environnement).

Une t-shirt à bas prix est souvent acheté sans besoin réel… et jeté aussi vite.

Des alternatives existent

Chez Hizno, nous avons fait un autre choix : des vêtements produits de manière éthique, dans des matières durables et imprimés uniquement à la demande. Pourquoi ?

  • Limiter la surproduction textile (aucun stock inutile).
  • Réduire drastiquement le gaspillage.
  • Encourager une mode plus lente, plus humaine, plus consciente.

Notre engagement : 60 modèles essentiels, pas un de plus.

En résumé : un t-shirt à 5 €, mais à quel prix réel ?

  • 2 700 litres d’eau gaspillés
  • Pollution chimique et CO₂
  • Exploitation humaine
  • Gaspillage textile planétaire

Tout ça pour un vêtement qui durera quelques semaines ?

Hizno – Une marque, une mission

Chez Hizno, nous croyons qu’un t-shirt doit être plus qu’un bout de tissu : il doit avoir du sens.
Nos vêtements sont faits pour durer, fabriqués dans le respect des humains et de la planète.
Nous produisons peu, mais bien. Pour vous. Pour demain.

HIZNO – Moins mais mieux. L’élégance de l’essentiel.